Après un copieux déjeuner, direction le musée du Caire dont j'attends avec impatience d'admirer les merveilles.

Tout commence avec la pierre de Rosette  ou plutôt son fac-similé. Elle est accompagnée de son traducteur  Jean-François Champollion.

La pierre de Rosette est découverte le 15 juillet 1799 à Rosette par un soldat français lors de la campagne d'Égypte de Bonaparte qui compte bien la faire ramener en France. Mais elle est volée par les anglais qui, aujourd'hui, refusent de la rendre à l'état égyptien.

Tout l'intérêt de cette pierre est qu'elle contient une texte gravé en trois langues : hiéroglyphes, démotique, grec ancien. C'est grâce justement à ces trois langues que Jean-François Champollion a réussi à déchiffrer le hiéroglyphes.

Le Pharaon Ramses II dans sa posture de toute puissance.

Les statuettes qui dans les tombes représentent les serviteurs de Pharaon afin qu'il soit toujours servi dans la mort pendant toute l'éternité. 

La triade traditionnelle, représente en général le dieu, son épouse et leur fils le pharaon. Ici il s'agit du pharaon Menkaoure, ou Mikerinos en grec, Accompagné de la déesse Athor et d'une fille dont je ne saurait vous dire le nom. N'oublions pas que dans l’Égypte ancienne le pharaon étaait considéré à l'égal d'un dieu, il était le fils de dieu.

Un scribe au puissant regard de cristal et pierre semi précieuse. 

Posé sur sa nuque, le faucon Horus protège le pharaon de ses ailes.

Les oies sacrées du Nil sont magnifiquement peintes. 

Un couple de nobles accompagné de ses enfants. 

Le shinx.

Et son pendant féminin, la sphinge. 

Dans le coin à gauche, le monsieur avec son drapeau, c'est Costa notre guide. Coucou Costa si tu passes dans le coin un de ces jours.

Maintenant allons rendre visite au grand et mystérieux Akhenaton.